Comment j'ai fait 220 000€ de chiffre d'affaires pour ma deuxième année de solopreneur

Les chiffres mois par mois

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• Inscriptions toujours ouvertes pour le prochain bootcamp Solomédia

• Comment j’ai fait 220k€ de CA mois par mois

Inscriptions toujours ouvertes pour le prochain bootcamp “Solomédia”

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Comment j’ai fait 220k de CA en année 2 :

Le 1er janvier 2022, j’avais annoncé faire 200k de CA sur l’année. Je n’avais absolument aucun plan ni aucune idée de comment je ferais une telle somme.

Voici le chiffre d’affaires annuel cumulé mois après mois (arrondi) :

Janvier 2022 : 5000
Février : 12 000
Mars 27 000
Avril : 52 000
Mai : 67 000
Juin: 82 000
Juillet : 104 000
Août : 127 000
Septembre : 144 000
Octobre : 162 000
Novembre : 205 000
Décembre : 220 000

Voici le plan que j’avais fait :

Je m’étais dit que j’aurais seulement 10 mois pour faire les 200 000 car juillet et août seraient des mois à zéro. Je savais que ce ne serait pas zéro mais mettre le challenge sur 10 mois me mettrait un coussin si je n’y arrivais pas.

Ce qui nous donnait 200 000 / 10 = 20 000 par mois.

Finlement, je n’ai fait + de 20 000 que pendant 5 mois sur 12, et ça avait mal commencé car je n’ai fait que 12 000 sur janvier et février. J’étais au fin fond du Sri Lanka, décalage horaire de 5h + j’avais envie de rien foutre.

Je suis revenu en France et je me suis mis en mode warrior, et là ça rigolait plus.

À la fin, voici la décomposition de mes revenus en tant que solopreneur en 2022 :
- Ghostwriting Linkedin pour les CEO : 45%
- Bootcamps : 34%
- Formations en ligne : 9%
- Apport d'affaires : 7%
- Influence : 3%
- Conférences : 2%

Première leçon : Je marche sur objectifs et je me donne les moyens ensuite. Le fait d’avoir 200k en ligne de mire me disait si j’avais fait un bon mois ou pas. Je ne les aurais pas faits sans avoir ça dans le viseur. Et ensuite, ça a boosté ma créativité pour les faire.

J’ai eu la “chance” aussi de côtoyer des Français qui jouaient dans ces sphères comme Jérémy Goillot, Nina Ramen, Caroline Jurado, Yoann Lopez. Je les ai tous invités en podcast. Ils me montrent que c’est possible par leur seule présence. Le plus important, c’est de comprendre que c’est possible.

Deuxième leçon : Entourez-vous et inspirez-vous de gens qui ont pété les barrières qui se dressent à votre niveau.

Ensuite, j’ai diversifié mon activité principale de ghostwriting, qui finalement ne représente “que” 45% de mes revenus totaux de cette année. J’ai fait des petits lancements, je me suis gardé les options ouvertes, tout en gardant une stratégie de kiff.

Troisième leçon : Diversifiez.

J’ai documenté fortement sur Linkedin, j’ai montré mon parcours, les obstacles, les victoires etc. Un paquet de gens sont devenus fous que je parle aussi librement d’argent parce qu’ils n’ont pas l’habitude en France. C’est okay pour moi. J’ai eu une éducation française puis américaine. 70% de ma veille quotidienne se fait sur Twitter US avec des fous furieux du business comme Pieter Levels, Daniel Vassallo, Sahil Bloom, Codie Sanchez, Paul Graham, Nicolas Cole, Charles Miller. J’unfollow tous les gens qui ne m’apportent rien ou qui se plaignent. Mon feed Linkedin et Twitter est béton, je m’expose constamment à l’influence des meilleurs.

Quatrième leçon : Vous êtes ce que vous consommez. Faites-vous une veille business béton et soyez impitoyables avec le bouton “unfollow”. Votre état d’esprit en dépend.

En poussant les murs et en essayant de comprendre comment “scaler” un solobusiness, je me suis rendu compte qu’il n’existe pas de notice IKEA. Tout est plus aléatoire qu’on ne le pense, personne ne peut prédire ses résultats en avance, sinon tout le monde y arriverait. J’ai embrassé l’incertitude mais j’aurais pu complètement me foirer. Quelque part, j’ai eu de la “chance” dans mon aventure pour l’instant. Pour faire avancer mon business maintenant, c’est difficile de regarder les gens plus avancés car il n’y en a pas beaucoup en solo. Je dois être le propre défricheur, devenir créatif et accepter de naviguer sans pilote automatique. Mais chaque jour, je garde ma détermination.

Cinquième leçon : Vous ne savez pas où vous allez, alors autant y aller avec panache et détermination.

J’ai aussi commencé á déléguer des actions que je n’avais pas envie de faire. J’ai pris un monteur en freelance + un coach. À un certain plafond de verre, il est difficile de vraiment monter en étant tout seul même si on se prend pour des warriors.

Sixième leçon : Déléguez.

La route est complexe. La route est longue. Préserver la santé et le bien-être est la priorité absolue, le business vient ensuite. Je n’ai pas les réponses divines, il n’en existe pas. Chacun son chemin. À vous de trouver le vôtre. Vous pouvez y arriver et je vous souhaite d’y arriver. Vous ne pouvez pas copier mon modèle.

Rappelez-vous que vous vivez dans la période la plus faste de l’Humanité pour entreprendre grâce à Internet et aux outils. C’est à vous d’armer la révolte.

Peace les punks.

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Thibault